« [...] Les princesses et les grenouilles de notre enfance ne sont peut-être pas si loin que ça.... Mais pour parvenir à cela, il faut trouver la bonne personne, oser, s’engager, peut-être se tromper,et surtout se désillusionner. Dur, dur dans une société où nous avons l’habitude de mettre notre individualisme en exergue, où nous voulons bien être à deux, mais où il ne faut pas trop empiéter sur notre autonomie. Une société où il est difficile de parler de soi sans faire peur aux autres, parce que ça « pourrait peut-être potentiellement être sérieux », où il y a autant de possibilités d’être, et où il est aussi facile de tout quitter, se séparer, Il paraît que ça s’appelle la liberté... effrayant ! [...] » « [...] Bien sûr, nous abordons les projets, mais de même, nous n’allons pas trop vite, pour ne pas être entraîné dans une spirale dont nous ne sommes pas sûr de sortir indemne. Ainsi, au début nous rigolons pour ne pas être trop sérieux tout de suite, pour s’assurer que l’autre avance au même tempo. [...] » « [...] Aujourd’hui, le couple est un idéal paradoxal dans lequel il faut vivre le grand amour tout en gardant son indépendance (duo) [...] »